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l'autre LIVRE

Maïssa BEY

PAROLES POUR UNE PAIX EN TERRE DE PALESTINE

PAROLES POUR UNE PAIX EN TERRE DE PALESTINE

de Monique SÉROT-CHAÏBI

D'un espace, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 17/06/2024 | 22,00 €

PAROLES POUR UNE PAIX EN TERRE DE PALESTINE est initié en juin 2023 et dirigé par Monique Sérot Chaïbi, dont le but est de continuer le combat, de son père, pour la paix. Chef des observateurs de l’ONU en 1948, il a été assassiné par le groupe extrémiste Stern, l’année de sa naissance. 40 auteur·e·s et 10 artistes de toutes confessions et nationalités ont répondu à son appel pour tenter de donner une idée objective de ce qui se passe en Palestine et de bousculer l’indifférence dont ses habitants sont victimes. Le 7 octobre 2023 l’actualité nous a rattrapé·e·s…

L’ombre d’un homme qui marche au soleil – Réflexions sur Albert Camus

L’ombre d’un homme qui marche au soleil – Réflexions sur Albert Camus

de Maïssa BEY

D'un espace, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 22/05/2024 | 12,00 €

Ce magnifique petit recueil a été publié initialement à l’issue d’un colloque sur Camus au Centre Beaubourg en 2002. Plusieurs éditions ont suivi, augmentées de colloques à l’Institut français d’Oran en 2004 et en 2019.?Entre les deux, Maïssa Bey a écrit sur la relation de Camus à sa mère et sur son rapport à l’Aurore et Tipaza. Cette nouvelle édition s’enrichit d’une conférence tenue en 2022 à l’Institut français d’Oran : Camus et Oran. 

Ce livre est passé de 63 à 93 puis 113 et enfin 132 pages !

«En écoutant Maïssa je retrouvais mon père. Pas un écrivain célèbre, non, mon père, un être humain avec sa solitude, son courage et ses déchirements. Et c’était une femme, algérienne, qui dans sa solitude et ses déchirements avait eu le courage d’une si lumineuse intelligence. »

Catherine Camus
Albert Camus et le mensonge au Centre Beaubourg en 2002

Au coeur de l'errance

Au coeur de l'errance

de Patrick CHAMOISEAU, Leïla SLIMANI, Loïc BARRIÈRE, Eric-Emmanuel SCHMITT, Laurent GAUDÉ, Jean-Paul MARI, Abdellatif LAABI, Erri de LUCA, Mahi BINEBINE, Maïssa BEY, Magyd CHERFI, Intagrist EL ANSARI, IDOUMOU, Yahia BELASKRI, Laurence VILAINE, Bios DIAL

revue etoiles d'encre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 08/02/2018 | 19,00 €

Ce numéro Hors série est le fruit de la collaboration avec Monique Sérot-Chaïbi, membre actif de Coup de Soleil, qui a sollicité de nombreux auteurs dans le but de créer un recueil dont le produit des ventes sera entièrement reversé à SOS Méditerranée.

Depuis l’année 2000, environ 50 000 candidats à l’exil se sont noyés en Méditerranée. Cette association, créée en 2015 a sauvé plus de 26 000 vies depuis février 2016 en affrêtant l’Aquarius, un bateau qui coûte 11 000€ par jour.

Du Mali, de Mauritanie, du Maroc, d’Algérie, de Tunisie, de Palestine, de Haïti, de Belgique, d’Italie, de Martinique et de France métropolitaine, des écrivain.e.s ont offert leur plume et des artistes leurs œuvres pour cette cause commune.

On dirait qu'elle danse

On dirait qu'elle danse

de Maïssa BEY

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 02/05/2014 | 6,00 €

Que peut-il bien se passer dans la tête d'une petite fille qui, un soir, après une colère, ouvre la fenêtre et saute dans le vide ? L’auteure se glisse dans la peau de cette fillette et, le temps d'une représentation, trouve les mots justes pour tenter de dire les peurs, les rêves, la douloureuse lucidité de ces enfants passés de l'autre côté de l'enfance. « Non, je ne veux pas grandir Je ne veux plus avoir peur Parce que tout au bout de l’enfance, il y a le monde. Le monde des adultes. De ceux qui ont peur Peur pour nous. Peur pour eux. Peur de tout.... écrit superbement Maïssa Bey prêtant sa voix à cette enfant de neuf ans qui a délibérément préféré rejoindre les étoiles à (bout de) force d’entendre la pensée raisonnable et raisonnante des adultes.

Tu vois c'que j'veux dire ?

Tu vois c'que j'veux dire ?

de Maïssa BEY

D'une fiction, l'autre (CHÈVRE-FEUILLE ÉTOILÉE) | Paru le 24/10/2013 | 5,00 €

Deux jeunes gens courent vers le port où les attend le passeur à minuit pile... Mais dans cette nuit, au cours de ce chemin qui les mène vers le bateau dans lequel ils vont embarquer clandestinement, que va-t-il se passer ? Que vont-ils se dire ? Réussiront-ils à...? À partir d'un fait divers, Maïssa Bey interroge le pourquoi de l'immigration, le refus et l'espoir des jeunes, et là encore, avec subtilité, avec justesse, elle pointe du doigt – et de sa plume – ce qui lui semble inacceptable dans le monde qui est le nôtre aujourd'hui. "Elle donne, dans un entretien inédit, une explication de ce phénomène : « En Algérie, les passagers clandestins qui cherchent­ à gagner au péril de leur vie les rives nord de la Méditerranée sont appelés « Harraga­ » ou brûleurs de frontières. Ces aventuriers des temps modernes n’ont d’autres ressources que leurs rêves, d’autre bien que leur vie qu’ils n’hésitent pas à mettre en jeu. Au paradigme de la peur qui s’installe sur ces rives nord, peur des lendemains, peur de l’autre, peur de la perte de l’intégrité identitaire, peur d’être envahis, répond, sur les rives sud, le paradigme de la désespérance qui permet justement de s’affranchir de la peur, de la dépasser. » En ces heures de repli sur soi et de peur de l’autre, où l’Europe se transforme en forteresse, pour aller au-delà des idées reçues et déconstruire le discours qui fausse la réflexion sur l’émigration, le texte de Maïssa Bey nous propose une formidable occasion de réfléchir sur la désespérance de ces jeunes, sur leur capacité à donner corps à leurs rêves, au mépris du danger. Nous ne pouvons rester sourds à l’appel de ces jeunes qui rêvent d’une vie qu’ils espèrent plus digne. Si l’action se situe en Algérie pour ces « harraga », nous pensons qu’à travers les faits et les situations connues dans le monde entier, chaque tentative d’exil devient un drame universel." Jocelyne Carmichael, directrice de la Compagnie Théâtr’elles