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l'autre LIVRE

géopoétique

Zones d'admiration

Zones d'admiration

de Jean ESPONDE

géopoétique (ATELIER DE L'AGNEAU ÉDITEUR) | Paru le 01/06/2021 | 18,00 €

Se trouvent ici repris et revus, différents échos d’ensembles écrits au cours des années. Ces moments privilégiés  concernent la Corne d'Afrique, la Chine, la Grèce ancienne, Ariane et la Crète minoenne... Avec des intérêts renouvelés, ainsi de la peinture, toujours à découvrir. Retrouver ou travailler des éclats, rencontres, sites exceptionnels, liens qui les rapprochent, et présenter un ensemble significatif sous le titre "zones d'admiration."

Des liens étroits d’un livre à l’autre, l’un entraînant l’autre, poésie et prose se nourrissant et avançant parallèlement. Ainsi naissent des ouvrages à dimension "géo-poétique" alternant avec des "non biographies" de Rimbaud, Segalen, Barthes, ou des romans inspirés par la Corne d’Afrique : Lucy – 3.000.000 et A la recherche de Lucy.

Le désert, Rimbaud. Récit

Le désert, Rimbaud. Récit

de Jean ESPONDE

géopoétique (ATELIER DE L'AGNEAU ÉDITEUR) | Paru le 05/01/2018 | 17,00 €

Après la Chine et la Grèce antique, Jean Esponde revient dans la Corne d’Afrique. Un précédent travail parcourait l’œuvre et la vie de Rimbaud par une succession de « flashes ». Ici, le récit va rejoindre et se concentrer autour d’un épisode peu et mal connu, la traversée du désert dankali ou afar, 500 km de la Mer Rouge aux montagnes d’Éthiopie. Aventure déjà prégnante dans Une saison en enfer, écriture-bilan et programme d’action, dont les citations introduisent ici la majorité des séquences. Ce sont quelques mois où son destin va basculer : Rimbaud devient « nègre » et anticolonialiste.http://atelierdelagneau.com

C'est le 13ième livre de Jean Esponde. Dernier livre paru : "les derniers grecs" chez le même éditeur

Les derniers grecs, Corinthe, 146 av.J.C

Les derniers grecs, Corinthe, 146 av.J.C

de Jean ESPONDE

géopoétique (ATELIER DE L'AGNEAU ÉDITEUR) | 16,00 €

LES DERNIERS GRECS : Février 2016 : le narrateur séjourne dans une Grèce

à nouveau malmenée, et retrouve peu à peu les dernières journées de l’Hellade antique. L’un après l’autre vont alors s’avancer sur la scène de cette tragédie : le voyageur,

un vieux musicien, le Consul Mummius, des femmes,

un représentant des esclaves, l’historien Polybe présent durant ces journées, Diaïos  ­- le Marat de l’époque, etc.

Au milieu du IIe siècle avant J.C. la « machine » romaine étend son emprise sur la Méditerranée. Elle n’a pas d’égards pour un monde grec qui résiste pourtant, pathétique, avec des moyens dérisoires.

- 146 : Avril, chute de Carthage.

            Automne, les Romains prennent Corinthe.

            La Grèce antique n’existe plus.

Roman-poème ? drame ? Le texte est tout cela, et ce fut

un drame en effet : Rome, qualifiée par Hegel d’infâme, détruit le dernier centre de la résistance grecque.  

Et Hölderlin :

Plus de couronnes, plus jamais, ornant les vaisseaux

de Corinthe ?

Pourquoi donc se taisent-ils, ô anciens, les théâtres sacrés ?

Resteront pour de nombreux siècles des provinces oubliées, et quelques noms dont on se souvient encore, comme Philopoemen, « le dernier des Grecs ».

Après la Corne d’Afrique et la Chine, Jean Esponde poursuit un voyage grec entamé avec Éphèse, l’exil d’Héraclite, et La Crète d’Ariane et Minos.