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l'autre LIVRE

Coup de coeur

Etreintes vagabondes

Etreintes vagabondes

de Bruno GOLOUBIEFF

Coup de coeur (5 SENS) | Paru le 01/04/2016 | 14,00 €

Etreintes vagabondes

Ce recueil de textes raconte sous différents aspects, poétique, humoristique, hommages, philosophique ou encore critique sociale la façon dont l’auteur appréhende et ressent le monde actuel. Le ton change. L’auteur laisse vagabonder ses idées sur des airs de rêverie. Il explore le genre humain et donne à lire ses récits et retours d’expérience sur la vie, avec ses doutes, ses craintes, ses espoirs et déconvenues. Cet écrit est un travail de désillusion face aux faux semblants et allants de soi, permettant de revisiter avec une certaine lucidité notre humanité. Et pourtant, malgré tout, cette vision inquiète essaye toujours d’extraire la vie la plus intense. Il subsiste un espoir en dépit du drame quotidien que représente notre condition humaine. Ce livre est une invitation au voyage, à la quête de sens où le cheminement prend le pas sur l’arrivée. Ce nomadisme finit alors par devenir ce qui permet à l’humain d’exister et de se sentir vivant. 

Étreintes vagabondes est la suite d’un premier recueil de textes intitulé Curiosités humaines publié en 2014 aux éditions Mille plumes, où pensées poétiques, aphorismes et autres commentaires portent un regard pluriel étonné sur le monde dans lequel nous vivons.

 

Bruno Goloubieff

Né en 1970, l’auteur est originaire du Jura où il a grandi. Après avoir exercé le métier d’éducateur spécialisé, il travaille actuellement à l’université d’Aix- Marseille en sciences de l’éducation où il forme un public d’adulte exerçant dans les métiers de l’humain. Étreintes vagabondes est son second recueil de textes. Marié avec deux enfants, il vit au calme en Provence à Mérindol au bord du Luberon.

Le roman de Baudelaire

Le roman de Baudelaire

de Pierre-Adrien MARCISET

Coup de coeur (5 SENS) | Paru le 01/01/2016 | 14,00 €

Trois garçons étranges, presque des hommes, violent délibérément le couvre-feu d'un Paris à la fois tangible et fantasmatique. Plusieurs factions politiques se sont partagé la France en une nouvelle féodalité, dans laquelle les trois Maisons majeures des Dulac, des Arcadet et des Byron mènent une sanglante guerre d’influence. Un compromis réside encore dans le découpage en trois huit de la capitale : de 2h à 10h circule et prospère toute la pègre indépendante, de 10h à 18h le commun des mortels sous le regard de la Maison Byron, tandis que le créneau de 18h à 2h appartient entièrement aux Dulac.

 

Mais Charles Byron n'en a cure. Accompagné de son garde du corps, Jules, et de Paul son porte-voix, il profite opportunément d'un crépuscule qui ne semble pas vouloir finir et poursuit n'importe quelle piste qui pourrait les mener à Malika, l'ancienne petite amie de Charles disparue depuis plusieurs jours. Des quartiers de prostitution aux rutilantes tours de la Défense, ils ne cessent d'arpenter la ville sous le soleil rouge et figé. Alors que la trace de Malika se précise, les contours de la réalité, eux, s'obscurcissent : Charles ne cesse de croiser un étrange regard jaune à la voix métallique, tandis que les humains ne s'aperçoivent même plus de l'avancée, au cœur du métro et des cavités sombres, des ténèbres qui rongent chaque jour un peu plus les âmes et les corps. 

 

L'auteur :

 

Pierre-Adrien Marciset est un jeune écrivain français. Né en 1988 il grandit dans le sud de la France au sein d’un petit village de l’Aude. Passionné de littérature, il vit aujourd’hui à Paris où il obtient un Master en Lettres Modernes, et se consacre à l’étude de la figure du Diable dans les littératures européennes (versions du mythe de Faust). Le roman de Baudelaire est son premier roman.

Comme souvent les statues

Comme souvent les statues

de Aurélien NEVERS

Coup de coeur (5 SENS) | Paru le 01/11/2015 | 15,00 €

 

Un vidéaste douteux, Gilles, accepte pour l’été l’invitation de Barnabé, écrivain fameux, dont il se prépare à épouser la fille, Irène, une attardée mentale aux réactions magnifiquement imprévisibles. Ils partent pour la Corse où les attend une vieille bâtisse, La Faquaille, aux allures de château de cartes. Autour d’eux apparaissent de nouvelles silhouettes : s’avancent ainsi Stella, une musicienne opaque, accompagnée de ses parents; ferment la marche Lucie et Cybèle, deux soeurs si proches qu’on s’adresse parfois comme à une personne unique, qu’on nomme alors Lucibelle. 

Lucie, une petite fille au physique ingrat et à la voix abîmée, observe du haut de son enfance un monde qu’elle lit au moyen d’une grille très personnelle ; Cybèle, à qui ses vingt ans et une beauté aussi banale qu’efficace offrent des possibilités interdites à sa benjamine, s’installe discrètement dans le paysage ; elle tracera pour Gilles des trajectoires inattendues en imaginant pour lui d’étranges destins. De son côté, Barnabé tente de dompter un roman rétif. Il faut surtout compter avec Stella et sa musique… Chacun à sa manière, chacun de son côté, s’en prend à la réalité. Un jeu périlleux, qui provoquera d’inattendues dérives aux violentes conséquences. Dans le château de cartes, triste comme les pierres…

 

‘Surprenant, poétique, profond... les Faquailliens nous transportent dans les dédales de toute la complexité de l’être humain’

 

L'auteur :

 

Aurélien Nevers n’est pas de ces écrivains témoins de leur temps. Tour à tour auteur dramatique, romancier, vidéaste, il déroule nonchalamment ses intrigues dans des zones incertaines, brumeuses, peuplées de personnages inhabituels qui se croisent, s’étreignent ou s’entrechoquent. En découlent des situations terribles ou exaltantes. Ou les deux à la fois. 

'Comme souvent les statues est son deuxième roman.'

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