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l'autre LIVRE

Théâtre

Coup de grâce

Coup de grâce

de Pietro PIZZUTI

Les Oiseaux de nuit (LES EDITEURS SINGULIERS) | 10,00 €

Trois femmes ont été abusées par le même homme dans un contexte familial ou conjugal. Aujourd’hui, elles ont accepté de se rendre à son chevet. Atteint d’une maladie incurable, il a demandé de mourir pour mettre fin à ses souffrances. 
Elles font preuve d’une vraie force morale. Mues par la volonté de comprendre le fonctionnement de l’homme qui a dévasté leurs vies.
Un sentiment troublant de pureté, porteur de légèreté et de renouveau.

La question qui fauche (ou l'autre Othello)

La question qui fauche (ou l'autre Othello)

de Aurélie VAUTHRIN-LEDENT

Les Oiseaux de nuit (LES EDITEURS SINGULIERS) | 10,00 €

« Mais avançons, parce que pendant ce temps, Iago a déjà dix coups d’avance sur sa vengeance. Et il regarde Myckael Cassiel avec un mélange de pitié et de dégoût. Mais personne ne le voit. L’art de feindre est si aiguisé chez Iago, qu’il vient de faire exprès de perdre au poker. »

L’Endroit défriché par le fou

L’Endroit défriché par le fou

de Christian CRAHAY

Les Oiseaux de nuit (LES EDITEURS SINGULIERS) | 10,00 €

Au commencement, il y a Sclessin, Scloeticinus, ou l’endroit défriché par le fou, comme l’appelaient les Romains. Et il y a le père, dont la prospérité et le déclin incarnent le sort de cette banlieue liégeoise, aujourd’hui sinistrée, au passé industriel prestigieux. Revenu sur le tard habiter le quartier de son enfance, Victor, le fils, comédien, remonte le temps, poussé par le besoin de comprendre un homme attachant mais insaisissable.

Mêlant la réalité et la fiction, Victor rend hommage au père, à la famille, au quartier sacrifié, pour qu’ils ne tombent pas dans l’oubli, pour désormais les garder jusqu’à son dernier souffle attachés à son cœur.

La Cabane d’Alexandra Kollontaï

La Cabane d’Alexandra Kollontaï

de Christine DELMOTTE-WEBER

Les Oiseaux de nuit (LES EDITEURS SINGULIERS) | 10,00 €

Alix rencontre Julia. Une relation amoureuse commence entre ses deux femmes. Julia est en couple avec Samuel qui est polyamoureux. Alix va explorer ce nouveau mode de relations, ce monde étrange et complexe…

Il y a aussi Alexandra Kollontaï, une femme politique socialiste, communiste et militante féministe qui a, d’une certaine manière, initié cette philosophie du polyamour. Elle apparait régulièrement dans le spectacle via des souvenirs, des évocations, des rêves de nos trois protagonistes.

Une pièce de théâtre qui nous invite à questionner nos rapports amoureux et nos façons de vivre les relations.

Après nous les mouches

Après nous les mouches

de Stéphane BISSOT

Les Oiseaux de nuit (LES EDITEURS SINGULIERS) | 10,00 €

« Ce récit librement autobiographique retrace le portrait et le destin de personnages drôles, profonds et attachants qui sont chacun le maillon d’une chaîne de transmission visible et invisible.
Le spectacle embrasse la vie en même temps qu’il enlace la mort. Il remonte à la croisée des chemins entre les vivants qui peuvent parfois briller par leurs absences ou leurs manquements, et les fantômes toujours présents. Allant de joies en chagrins, d’espoirs en déceptions, d’amours aux multiples visages en ruptures diverses, il trace un chemin de vie semé de rires et de larmes où l’existence l’emporte sur la grande faucheuse et continue de jouer avec elle une partie de « à qui perd gagne » aussi forcenée que joyeuse. »

Sylvie Somen

Les cris, nouvel inventaire

Les cris, nouvel inventaire

de Christina MIRJOL.

La bleu-Turquin (DOURO) | 21,50 €

Les cris, nouvel inventaire, fait suite à un premier texte qui comportait quatre-vingt-dix-neuf fragments numérotés. Ce nouvel inventaire ajoute à ces derniers une centaine de nouveaux fragments, soit en totalité, 199 « cris ». Ces « cris » ressemblent à ceux que nous pouvons entendre à deux pas de chez nous, dans la rue, au cœur de notre foyer ou dans les profondeurs de notre imaginaire : le boucher, le bûcheron, un flic, un juge, un voisin sans histoire, deux collectionneurs, l’homme perdu… De l’un à l’autre, c’est tout un cortège de clameurs qui défile, incarné sommairement par des personnages minuscules. Malgré la brièveté de leurs proférations, surgissent en quelques mots des pans de vie entiers, qu’un habile personnage, dénommé l’écrivain, s’amuse à mettre en scène, tel un équilibriste. À les imaginer sur une scène de théâtre, on songe à une toile de Ensor.

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