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l'autre LIVRE

Poésie

Petite Ville… Beau Pays… Souvenirs de séjour dans l’Ardèche

Petite Ville… Beau Pays… Souvenirs de séjour dans l’Ardèche

de Hélène PICARD

Poésie (LES VÉLIPLANCHISTES) | Paru le 04/11/2022 | 18,00 €

Paru en 1907, Petite Ville… Beau Pays… s’ancre dans un essor de la littérature écrite par des femmes qui connaît son apogée lors de la Belle Époque. Ce recueil de poésie d’Hélène Picard, confidentiel, destiné à ses amis de Privas, pose une pierre à sa carrière de femme de Lettres, avant de se rendre à Paris et de côtoyer Colette, chère amie, et les cercles littéraires au sein desquels on la surnomma la «Noailles de l’Ardèche».
Poétesse désormais méconnue, cette réédition vise à la (re)découvrir, par une œuvre sans doute moins connue que le célèbre L’Instant éternel, recueil paru la même année qui lui vaudra tant d’éloges.

L’ouvrage est préfacé par Francesca Maffioli, et illustré de photographies d’archives du Privas des années 1900 et 1910 des Archives départementales de l’Ardèche, de la Médiathèque de Valence et du service de communication de la Ville de Privas.

L'Herbier de Sabine Sicaud

L'Herbier de Sabine Sicaud

de Sabine SICAUD

Poésie (LES VÉLIPLANCHISTES) | Paru le 23/08/2021 | 18,00 €

La Solitude est le nom donné à la villa, située à Villeneuve-sur-Lot, dans le sud-ouest de la France, dans laquelle Sabine Sicaud est née le 23 février 1913 et est décédée le 12 juillet 1928.

C’est ici qu’elle vécut et écrivit ses poèmes, dans cette demeure enfouie dans la nature luxuriante, entourée d’arbres, et à laquelle on accède par une grande allée de platanes, après avoir ouvert un grand portail en fer noir.

La Solitude et son parc – qui abrite grotte, étang, fleurs, animaux, insectes – nourrissent l’inspiration de la jeune poétesse. Tout un théâtre joue pour Sabine qui ne sort guère de la propriété. Cette villa est son îlot dans l’univers, comme elle le nomme dans le poème éponyme. Comme le Voyage autour de ma chambre de Xavier de Maistre, Sabine Sicaud fait de son environnement sa muse. La vie domestique devient un poème, le jardinier et les maîtres des lieux deviennent des êtres lyriques.

Sabine raconte des histoires avec son quotidien, dans une poésie fine, imagée, qui se lit et se comprend si aisément. Chaque élément vie sous sa plume prend de l’ampleur et s’impose ainsi à l’humain. Chaque arbre, plante, fleur sont dignes d’être admirés, observés de près. Ses poèmes sont le reflet d’une vie quasi cloîtrée dans ce microcosme, à cause d’une maladie qui eut raison d’elle en pleine adolescence.