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l'autre LIVRE

collection historique

Nefer-Neferou-Aton, successeur d'Akhénaton

Nefer-Neferou-Aton, successeur d'Akhénaton

de Giovanni-Michel DEL FRANCO

collection historique (LE CHANT DES HOMMES) | Paru le 27/09/2023 | 18,00 €

La période amarnienne est une parenthèse dans l’histoire millénaire de l’Égypte pharaonique. C’est également une des plus passionnante : celle du mystique Akhénaton, de l’iconique Nefertiti, et du célèbre Toutankhamon.

Si ces noms ont gagné la notoriété, bien des mystères les entourent encore. Ceux de Smenkharê et Nefer-Neferou-Aton sont, en revanche, bien moins connus du public, du fait de la brièveté de leurs règnes, intercalés entre ceux d’Akhénaton et Toutankhamon. Ils font pourtant pleinement partie de cet épisode d’une vingtaine d’années, où certains ont cru déceler l’origine du monothéisme.

L’identité de ces personnages fait débat (certains y voient même un seul individu), tout comme leur rôle dans le cours de cette histoire. Une chose semble néanmoins avérée : l’existence d’une femme pharaon, Nefer-Neferou-Aton, juste avant la montée sur le trône d’Égypte d’un de ses souverains les plus fameux. Peu savent pourtant que la majeure partie du trésor funéraire de Toutankhamon provient de celle qui l’a précédé. Et nous y trouvons, sur certaines figurines, son visage.

Charles VI le Bien-Aimé, ou la Passion du roi

Charles VI le Bien-Aimé, ou la Passion du roi

de Giovanni-Michel DEL FRANCO

collection historique (LE CHANT DES HOMMES) | Paru le 02/05/2017 | 18,00 €

En 1392, le roi de France, Charles VI, devient “fou” lors de la célèbre crise du Mans. Il règne cependant jusqu’à sa mort, en 1422. Ces années sombres pour le pays voient la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons s’ajouter au conflit contre les Anglais. Ceux-ci obtiennent le royaume par le traité de Troyes.

Dans cette période “noire” de notre histoire, peu se sont intéressés à Charles VI. Comme si la folie l’isolant du monde l’effaçait de son règne.

Pourtant, ce roi resta sur le trône. Au-delà des débats sur la pathologie dont il était atteint, il convient de s’interroger sur son maintien au pouvoir. N’était-il qu’un “fantoche” aux mains des factions luttant pour faire main-basse sur un gouvernement vacillant ? A t-il eu, en dépit de la maladie, prise sur les évènements ? Est-il possible de déceler, entre les attaques de son mal, une ligne politique ?

La réponse ne se trouve t-elle pas dans le surnom donné par le peuple : “le Bien-Aimé” ? Ou dans ses souffrances, miroir de celles d’une population prise dans la folie de la guerre ravageant le royaume ? Dans l’esprit du temps, Charles VI, roi “par miracle consacré”, ne partage t-il pas, dans son esprit souffrant, la Passion dont les “mystères” rejouent inlassablement les scènes au peuple ?