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l'autre LIVRE

POESIE

GITTA

GITTA

de Gérard ROUSSEL

POESIE (LA TÊTE À L'ENVERS) | Paru le 10/07/2013 | 9,50 €

Ce poème, tout en délicatesse et retenue, est une lettre que Gérard Roussel a adressée à son amie Gitta Deutsch, poète autrichienne, qui venait de mourir.

Il dit l'amitié qui survit au-delà de la mort, la tendresse, les souvenirs qui reviennent par bribes...

Gérard Roussel vit à Nevers. Il a écrit des chroniques et des poésies dont Creuset du chêne.

La voix qui t’est due

La voix qui t’est due

de Pedro SALINAS

POESIE (LA TÊTE À L'ENVERS) | Paru le 10/12/2012 | 15,00 €

Pedro Salinas (1891-1951) a fait partie, aux côtés de Federico Garcia Lorca et de Jorge Guillén, du groupe d'écrivains espagnols appelé "Génération de 1927".

Il est considéré comme l'un des plus grands représentants de ce groupe et La voz a ti debida (1933) ainsi que Razon de amour (1936) comptent parmi les plus beaux chants d'amour du lyrisme espagnol.

Traduction de Bernard Sesé : poète lui-même, (il a publié Discipline de l'arcane aux éditions Arfuyen et Ivre de l'horizon aux éditions Convivium Lusophone), il a aussi écrit de nombreux ouvrages sur les auteurs mystiques espagnols ainsi que des traductions d'écrivains espagnols et portugais ( Antonio Machado, Fernando Pessoa, Caldéron, Jean de la Croix etc.)

Métope

Métope

de Thanassis HATZOPOULOS

POESIE (LA TÊTE À L'ENVERS) | 21,00 €

Reprenant l’idée des figures qui ornaient les métopes des temples grecs, le poète et psychanalyste Thanassis Hatzopoulos nous propose une nouvelle lecture des grandes figures (féminines surtout), de l’antiquité jusqu’à nos jours. Étrangères, marâtres, mendiantes, meurtrières, mères ou nourrices du temps passé ou de notre temps, autant de généalogies de femmes qui traversent la vie.
Un poème ouvre le livre Nekuia ou la voûte et un autre À la lumière le clôt, comme un ciel de constellations que la parole met en lumière.

Thanassis Hatzopoulos est l’auteur d’une « poésie à la trame subtile, riche en images tantôt sensuelles tantôt âpres comme la vie. Sa langue reflète la nature du pays qui l’a vue grandir, ici rocailleuse, là douce et pulpeuse, égéenne dans son rythme. Imprégnée de l’histoire et des différentes cultures de sa terre natale. Et toujours porteuse d’un sens qui touche à l’intime de l’homme et de sa société », comme l’a écrit Véronique Briand.

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