Romans policiers
Portrait de la mort donnant le sein
de Brice TARVEL
Textures (ZINEDI) | Paru le 07/03/2023 | 18,90 €
La paisible île de Ré abrite au milieu des marais salants une sinistre clinique de cobayes humains vendus par leurs familles. Lors d’un jour hivernal, Corentin et Kléber réussissent à s’évader de cet enfer. Témoins vivants, les enfants représentent un danger pour les pratiques criminelles du docteur Malaquin qui envoie ses tueurs à leur poursuite.
HORS CADRE
de François DUQUÉNOY
Polar (ANNICKJUBIEN) | Paru le 12/10/2022 | 29,00 €
Prix 23,00 + 6 € de frais de port = 29€
Ben est cadreur, il a la vingtaine, il voit du pays et n’a pas le temps de s’ennuyer entre ses missions qui s’enchaînent : un tour d’Europe par ci, un travail à Paris par là, un autre dans le Kent pour suivre. Pour beaucoup, une vie de rêve. Il faut un hasard à peine croyable pour que depuis la Californie, Liz, une jeune employée d’un géant du web et activiste se rende compte que quelque chose de suspect se trame en Europe, et alerte la police. Dans ce roman aux allures de polar, le lecteur se laisse constamment surprendre par les rebondissements, jusqu’à en déduire que les apparences sont trompeuses, et qu’il en va de ce texte comme de notre société : pour avoir une vision lucide des choses, il convient de s’attarder un moment, pour poser les yeux hors du cadre.
L’auteur : Sans trop savoir à quoi s’attendre, il a avalé sa première goulée d’oxygène dans le nord de la France un jour du printemps 1982, pour ne plus jamais s’arrêter. Sans davantage savoir à quoi s’attendre, il s’est mis à écrire dans le nord de la France un jour d’été 2021, pour ne plus jamais s’arrêter.
Ed Lacy-Un inconnu nommé Len Zinberg
de Roger MARTIN
hors collection (A PLUS D'UN TITRE) | Paru le 01/02/2022 | 20,00 €
Qui était-il cet écrivain juif, communiste, marié à Esther, une Noire avec laquelle ils adopteraient plus tard Carla, une petite fille noire originaire des Antilles britanniques ?
Qui était-il ce « juif non-juif », passionnément new-yorkais, qui avait embrassé à vingt ans la cause des laissés-pour-compte de la socièté et des victimes du racisme, noires ou hispaniques ?
Qui était-il vraiment ? Len Zinberg, auteur de nouvelles dans la presse communiste ? Ed Lacy, qui publiait ses récits dans l’Afro-American et le Pittsburgh Courier et passait pour Noir ? Ou encore Steve April, Russell Turner ou Mark Haggstrom qui signeraient des centaines de nouvelles ?
Qui était-il, ce soldat mobilisé ? en Italie qui deviendrait correspondant de Yank, un hebdomadaire « écrit par des soldats pour des soldats » tiré à 2 700 000 exemplaires ? Ce collaborateur du prestigieux New Yorker, qui publia en 1940 Walk Hard-Talk Loud que Langston Hughes et Ralph Ellison jugeaient extraordinaire ?
Qui était-il ce Blanc qui créa, en 1957, le premier personnage de détective privé noir, Toussaint Marcus Moore, dans Traquenoir (Room to Swing), auquel les Mystery Writers of America décernèrent l’Edgar du meilleur roman policier de l’année ?
Qui était-il, cet écrivain talentueux dénonce ? comme rouge et victime de la Chasse aux sorcières, qui s’évanouit en 1949, avant de se réincarner, deux ans plus tard, en un certain Ed Lacy et d’écrire une trentaine de romans noirs jusqu’à sa mort tragique en 1968, sans jamais cesser de de?fendre des valeurs de liberté ?, de tolérance et d’humanité ?
Ed Lacy (Un inconnu nommé Len Zinberg) en même temps que la singulière destinée d’un auteur qui mérite pleinement d’être redécouvert, est une passionnante plongée au cœur de l’histoire des États-Unis, des luttes sociales et politiques, du combat pour l’eégalité raciale et de l’univers de la littérature noire.
PITIÉ POUR LA PYTHIE
de Jean-Louis DUBOIS-CHABERT
Roman (ANNICKJUBIEN) | Paru le 03/06/2021 | 21,00 €
FRAIS DE PORT INCLUS : 18 + 3 € = 21 €
Laure Palmayre a disparu. Née sans yeux, la gamine voyait pourtant mieux que quiconque. Le passé, clairement. L’avenir, souvent. À Chabrac, elle était la Pythie. L’enquête s’annonce difficile pour le commissaire Vourbil. Car dans cette petite ville aux superstitions tenaces, aucun secret ne franchit la sombre forêt de Nègres-Bois.
Sur fond de gros sous, de jalousies et de pratiques occultes, entre une troupe de théâtre interlope, des Gitans sur qui planent les préjugés, un cercle littéraire lunaire, un paranoïaque halluciné, une bourgeoisie décadente, un gendarme bipolaire, des adolescentes trop curieuses, un psychiatre chelou et une faune de bistrot peu recommandable, personne n’a les mains trops propres.
Laure Palmaye en savait long. En savait-elle trop ?
Journaliste repenti, Jean-Louis Dubois-Chabert emprunte des chemins d’écriture entre mots et images. Né il y a 52 ans au bord de la Méditerranée sous les jupes de laquelle il aime plonger, de l’eau salée, du vin rouge et de l’huile d’olive coulent dans ses veines.
Cofondateur de la revue numérique [mot]: et auteur du photopoème 19 murmures et un soupir désemparé en 2015, il a aussi publié un récit documentaire, Délit de solidarité (Éditions libertaires) en 2017 et un recueil de nouvelles, Les Territoires du vide (L’Harmattan) en 2018.
Troquant un temps son stylo pour la caméra, il est le réalisateur du documentaire De la couleur sur les plaies en 2021.
Laure Palmayre a disparu. Née sans yeux, la gamine voyait pourtant mieux que quiconque. Le passé, clairement. L’avenir, souvent. À Chabrac, elle était la Pythie. L’enquête s’annonce difficile pour le commissaire Vourbil. Car dans cette petite ville aux superstitions tenaces, aucun secret ne franchit la sombre forêt de Nègres-Bois.
Sur fond de gros sous, de jalousies et de pratiques occultes, entre une troupe de théâtre interlope, des Gitans sur qui planent les préjugés, un cercle littéraire lunaire, un paranoïaque halluciné, une bourgeoisie décadente, un gendarme bipolaire, des adolescentes trop curieuses, un psychiatre chelou et une faune de bistrot peu recommandable, personne n’a les mains trops propres.
Laure Palmaye en savait long. En savait-elle trop ?
Journaliste repenti, Jean-Louis Dubois-Chabert emprunte des chemins d’écriture entre mots et images. Né il y a 52 ans au bord de la Méditerranée sous les jupes de laquelle il aime plonger, de l’eau salée, du vin rouge et de l’huile d’olive coulent dans ses veines.
Cofondateur de la revue numérique [mot]: et auteur du photopoème 19 murmures et un soupir désemparé en 2015, il a aussi publié un récit documentaire, Délit de solidarité (Éditions libertaires) en 2017 et un recueil de nouvelles, Les Territoires du vide (L’Harmattan) en 2018.
Troquant un temps son stylo pour la caméra, il est le réalisateur du documentaire De la couleur sur les plaies en 2021.
Laure Palmayre a disparu. Née sans yeux, la gamine voyait pourtant mieux que quiconque. Le passé, clairement. L’avenir, souvent. À Chabrac, elle était la Pythie. L’enquête s’annonce difficile pour le commissaire Vourbil. Car dans cette petite ville aux superstitions tenaces, aucun secret ne franchit la sombre forêt de Nègres-Bois.
Sur fond de gros sous, de jalousies et de pratiques occultes, entre une troupe de théâtre interlope, des Gitans sur qui planent les préjugés, un cercle littéraire lunaire, un paranoïaque halluciné, une bourgeoisie décadente, un gendarme bipolaire, des adolescentes trop curieuses, un psychiatre chelou et une faune de bistrot peu recommandable, personne n’a les mains trops propres.
Laure Palmaye en savait long. En savait-elle trop ?
Journaliste repenti, Jean-Louis Dubois-Chabert emprunte des chemins d’écriture entre mots et images. Né il y a 52 ans au bord de la Méditerranée sous les jupes de laquelle il aime plonger, de l’eau salée, du vin rouge et de l’huile d’olive coulent dans ses veines.
Cofondateur de la revue numérique [mot]: et auteur du photopoème 19 murmures et un soupir désemparé en 2015, il a aussi publié un récit documentaire, Délit de solidarité (Éditions libertaires) en 2017 et un recueil de nouvelles, Les Territoires du vide (L’Harmattan) en 2018.
Troquant un temps son stylo pour la caméra, il est le réalisateur du documentaire De la couleur sur les plaies en 2021.
Laure Palmayre a disparu. Née sans yeux, la gamine voyait pourtant mieux que quiconque. Le passé, clairement. L’avenir, souvent. À Chabrac, elle était la Pythie. L’enquête s’annonce difficile pour le commissaire Vourbil. Car dans cette petite ville aux superstitions tenaces, aucun secret ne franchit la sombre forêt de Nègres-Bois.
Sur fond de gros sous, de jalousies et de pratiques occultes, entre une troupe de théâtre interlope, des Gitans sur qui planent les préjugés, un cercle littéraire lunaire, un paranoïaque halluciné, une bourgeoisie décadente, un gendarme bipolaire, des adolescentes trop curieuses, un psychiatre chelou et une faune de bistrot peu recommandable, personne n’a les mains trops propres.
Laure Palmaye en savait long. En savait-elle trop ?
Journaliste repenti, Jean-Louis Dubois-Chabert emprunte des chemins d’écriture entre mots et images. Né il y a 52 ans au bord de la Méditerranée sous les jupes de laquelle il aime plonger, de l’eau salée, du vin rouge et de l’huile d’olive coulent dans ses veines.
Cofondateur de la revue numérique [mot]: et auteur du photopoème 19 murmures et un soupir désemparé en 2015, il a aussi publié un récit documentaire, Délit de solidarité (Éditions libertaires) en 2017 et un recueil de nouvelles, Les Territoires du vide (L’Harmattan) en 2018.
Troquant un temps son stylo pour la caméra, il est le réalisateur du documentaire De la couleur sur les plaies en 2021.
Laure Palmayre a disparu. Née sans yeux, la gamine voyait pourtant mieux que quiconque. Le passé, clairement. L’avenir, souvent. À Chabrac, elle était la Pythie. L’enquête s’annonce difficile pour le commissaire Vourbil. Car dans cette petite ville aux superstitions tenaces, aucun secret ne franchit la sombre forêt de Nègres-Bois.
Sur fond de gros sous, de jalousies et de pratiques occultes, entre une troupe de théâtre interlope, des Gitans sur qui planent les préjugés, un cercle littéraire lunaire, un paranoïaque halluciné, une bourgeoisie décadente, un gendarme bipolaire, des adolescentes trop curieuses, un psychiatre chelou et une faune de bistrot peu recommandable, personne n’a les mains trops propres.
Laure Palmaye en savait long. En savait-elle trop ?
Journaliste repenti, Jean-Louis Dubois-Chabert emprunte des chemins d’écriture entre mots et images. Né il y a 52 ans au bord de la Méditerranée sous les jupes de laquelle il aime plonger, de l’eau salée, du vin rouge et de l’huile d’olive coulent dans ses veines.
Cofondateur de la revue numérique [mot]: et auteur du photopoème 19 murmures et un soupir désemparé en 2015, il a aussi publié un récit documentaire, Délit de solidarité (Éditions libertaires) en 2017 et un recueil de nouvelles, Les Territoires du vide (L’Harmattan) en 2018.
Troquant un temps son stylo pour la caméra, il est le réalisateur du documentaire De la couleur sur les plaies en 2021.
Laure Palmayre a disparu. Née sans yeux, la gamine voyait pourtant mieux que quiconque. Le passé, clairement. L’avenir, souvent. À Chabrac, elle était la Pythie. L’enquête s’annonce difficile pour le commissaire Vourbil. Car dans cette petite ville aux superstitions tenaces, aucun secret ne franchit la sombre forêt de Nègres-Bois.
Sur fond de gros sous, de jalousies et de pratiques occultes, entre une troupe de théâtre interlope, des Gitans sur qui planent les préjugés, un cercle littéraire lunaire, un paranoïaque halluciné, une bourgeoisie décadente, un gendarme bipolaire, des adolescentes trop curieuses, un psychiatre chelou et une faune de bistrot peu recommandable, personne n’a les mains trops propres.
Laure Palmaye en savait long. En savait-elle trop ?
Journaliste repenti, Jean-Louis Dubois-Chabert emprunte des chemins d’écriture entre mots et images. Né il y a 52 ans au bord de la Méditerranée sous les jupes de laquelle il aime plonger, de l’eau salée, du vin rouge et de l’huile d’olive coulent dans ses veines.
Cofondateur de la revue numérique [mot]: et auteur du photopoème 19 murmures et un soupir désemparé en 2015, il a aussi publié un récit documentaire, Délit de solidarité (Éditions libertaires) en 2017 et un recueil de nouvelles, Les Territoires du vide (L’Harmattan) en 2018.
Troquant un temps son stylo pour la caméra, il est le réalisateur du documentaire De la couleur sur les plaies en 2021.
LE RIRE DU CROCOLION
de Jean-Pierre JUB
Polar (ANNICKJUBIEN) | Paru le 01/01/2021 | 19,00 €
Le commissaire Max Guillemot, sacré premier flic français par ses pairs savoure les premiers jours d’une retraite bien méritée, mais de courte duré, car Il est appelé au chevet d’une vieille dame, la mère d’un de ses copains d’enfance, qui lui révèle que son fils que l’on croyait mort pendant la bataille d’Alger est en réalité bien vivant en Algérie. La mourante fait promettre à Max de rechercher son fils. En tenant cette promesse, Max va être plongé dans une enquête qui va le mener dans la casbah algéroise au prise avec la mafia locale. Max retrouvera t-il son copain d’enfance ? En tout cas il va être confronté à des situations parfois dramatiques, parfois rocambolesques.
Jean-Pierre JUB est écrivain voyageur, après plusieurs récits, il signe ici son premier polar.
SUBSPACE - Pourquoi je lis "Le Maître des illusions" de Donna Tartt
de Chloé SAFFY
Feux Follets (LE FEU SACRÉ ÉDITIONS) | Paru le 06/03/2020 | 8,50 €
« Pourquoi cette histoire secrète, et pourquoi en avoir fait un tuteur, semblable en cela au titre qu’on lui donne en français, Le Maître des illusions ? Pourquoi cette fascination depuis plus de vingt ans, et jusqu’où s’exerce-t-elle ? Peut-être pour me pousser, à travers ces pages, à comprendre comment ce Maître m’a offert des clés essentielles à employer en tant que personne, en tant qu’écrivain. Ici, il sera aussi question de Bret Easton Ellis et d’amitié littéraire, de message moral et de mentorat, de transcendance et de déception, de BDSM et de subspace, cette zone de l’esprit et du corps que parfois seule la littérature réussit à formuler. Une autre forme de Secret History. » Chloé Saffy est en dédicace au salon de L'AUTRE LIVRE le vendredi 26 novembre 2021 de 14h à 15h30, stand C28.
COMME UN TROU LUMINEUX DANS LE TROTTOIR - Pourquoi je le lis "Les Fantômes du chapelier" de Georges Simenon
de Balval EKEL
Feux Follets (LE FEU SACRÉ ÉDITIONS) | Paru le 06/03/2020 | 8,50 €
Sondant l’inventaire de Simenon dont elle est la spécialiste amoureuse, Balval Ekel réhabilite celui à qui l’on a fait porter tous les chapeaux de salaud, de l’antisémite au misogyne. Elle en rend sensible le côté visionnaire, pour révéler la biographie dissimulée derrière ce petit roman français autant que l’Histoire des hommes insérée dans le récit policier, la tendresse de Simenon pour ceux que d’autres appellent à tort les petites gens, leurs combats noués dans les gestes du quotidien, la lutte des femmes, la fausse fatalité d’un capitalisme contre lequel se dresser, malgré le piège que la forme même de l’urbanisme semble refermer sur les personnages. Tous victimes de leurs propres crimes. Publié avec le soutien du Centre National du Livre. Balval Ekel est en dédicace le vendredi 26 et le samedi 27 novembre 2021 de 15h à 16h au salon de L'AUTRE LIVRE sur le stand C28.
VAGABONDAGE - Pourquoi je lis "La Famille royale" de William T. Vollmann
de Frédéric JACCAUD
Feux Follets (LE FEU SACRÉ ÉDITIONS) | Paru le 06/03/2020 | 8,50 €
Fuite en avant mêlée de flâneries grises comme le cauchemar, de marches nomades et arrêts impromptus aux stations les plus flottantes, l’enquête que conduit Frédéric Jaccaud sur le corps monstrueux de la Famille royale arpente ce roman de Vollmann et San Francisco comme une cour des Miracles où se retrouvent les protagonistes, les deux auteurs, vous lecteur, tous indics et témoins d’une investigation. Ce livre écrit sur les traces de l’autre cartographie la perdition, désigne la rencontre comme point de repère, l’humain pour seule balise, dans l’incapacité à se situer face à un roman ou une ville, ceux-ci changeant d’architecture à chacun de nos passages, chaque lecture de leurs plans.
Coupable
de Serge RADOCHéVITCH
Borderline (ETT/ÉDITIONS TERRITOIRES TÉMOINS) | Paru le 12/12/2019 | 18,00 €
Coupable
Cold Case
Vingt ans après qu’une jeune fille a été retrouvée morte, au cours d’une soirée arrosée entre ados, des consciences se réveillent. Le meurtrier présumé, Jimmy, un jeune black, s’est suicidé peu après les faits. Cold Case ? Rien n’est moins sûr.
Simon Bielik, journaliste free-lance, reprend l’enquête et exhume petit à petit, secrets et arrangements entre amis.
À trop déranger le passé, il risque bien de se venger.
L’auteur excelle ici à analyser les trahisons et lâchetés qui jalonnent des vies pourtant bien ordinaires.
Serge Radochévitch, né à Nancy, vit dans le Pays-Haut. Coupable est son cinquième roman publié chez ETT.