ARTDERIEN
Créée en février 2018, cette jeune maison d’édition s’attache à suivre tous les chemins de l’expérimentation dans ses multiples langages (écrit, sonore, pictural, visuel).
Créée en février 2018, cette jeune maison d’édition s’attache à suivre tous les chemins de l’expérimentation dans ses multiples langages (écrit, sonore, pictural, visuel).
Site web : | http://https://editions-artderien.fr/ |
Courriel : | nous contacter |
Diffusion : | les presses du réel |
Distribution : | les presses du réel |
Forme juridique : | SAS |
Nombre de titre au catalogue : | 10 |
Tirage moyen : | 150 |
Spécialités : | art, poésie, philosophie, musique, cinéma |
ARTDERIEN | Paru le 26/10/2022 | 10,00 €
Ce récit est une correspondance sans réponses, peut-être une histoire d'amour. Il a été écrit avec un smartphone, un téléphone intelligent. D'une écriture, tour à tour lyrique, poétique et violente, l'autrice joue avec les options, la pensée mobile, les émotions et les absurdités émergentes.
ARTDERIEN | Paru le 09/11/2020 | 20,00 €
Beau-livre. Dessins et textes d’Olivier Bringer. Série de 30 dessins et 12 textes inédits sur papier bouffant Munken |
Écrivain et artiste sonore, personnage inclassable, artiste dans l’âme, le corps et le langage, génialissime dans sa radicalité, écrivant et dessinant dans une nécessité et une immédiateté absolues. Portraitiste dans la fureur et dans l’abstraction du geste. "Les textes et les dessins fascinent par leur présence, au moment même où ils semblent « représenter » l’horreur, la chute ou le raté. Le travail graphique évoque parfois les personnages lovés des espaces indéterminés et crasseux chers à Roger Ballen. Plus généralement, l’univers esthétique d’Olivier Bringer semble inséparable d’un phylum de références littéraires - Poe, Jarry, Sade… — dont l’artiste a imbibé ses lectures de son écoute passionnée des musiques expérimentales — le tout macéré avec l’efficacité d’un riff des Stooges ou de Captain Beefheart!" (cf. La Diagonale de l’art) |
ARTDERIEN | Paru le 03/05/2018 | 15,00 €
Edition de textes poétiques, illustrée d'œuvres originales d’Olivier Bringer. |
ARTDERIEN | Paru le 01/06/2018 | 15,00 €
Edition de textes poétiques, illustrée d'œuvres originales d’Olivier Bringer. |
de Patrice CAILLET & Alan COURTIS
ARTDERIEN | Paru le 26/10/2022 | 25,00 €
Discographisme maison / Homemade record sleeves est un travail de collecte et d’assemblage de pochettes de disques trouvées pour la plupart sur les marchés aux puces. Elles proviennent des années 1950 à 1990, période de consumérisme de masse et de production intensive de disques.
Celles-ci ont toutes été revisitées et modifiées par des inconnus ayant utilisé l’originale comme support ou comme source d’inspiration… Couvrant un espace musical élargi allant de la Pop au Tango, du Rock psychédélique au Cha-cha-cha, de Bach à la Bossa Nova, le Heavy Metal, le Boléro, la Polka paraguayenne, elles proviennent de tous les continents (Europe, Eurasie, Amérique du Sud, continent indien, Afrique) notamment de pôles urbains différents, Paris et Buenos-Aires entre autres.
Les interventions graphiques ici sont multiples : inscriptions timides ou inachevées, caviardages bâclés ou réalisations plus abouties relevant d’une relative « intentionnalité artistique ». On y trouve autant de marques d’attachement ou de transgression à l’égard de « modèles » : entre dérision et non-sens, déchaînement outrancier et occurrence floue, biffage et illumination artistique, messages personnels, déclarations d’amour ou de rejet…
Cette collection se fait l’écho d’une expérience intime, en marge, méconnue, que l’on pourra replacer dans une histoire de l’iconographie et de la musique populaire avec ses référents sociaux, économiques ou culturels. Du fait de propos souvent balbutiants, laconiques, d’un graphisme jugé parfois approximatif, ces images amateurs peuvent être considérées comme relevant d’une pratique mineure et peu signifiante. Elles sont toutefois l’expression d’instants vécus, d’expériences graphiques aventureuses oscillant entre création, iconoclasme : une force irrépressible qui révèle peut-être aussi la manifestation d’un inconscient collectif dans toute sa splendeur.
Patrice Caillet / Alan Courtis
de Maria CHAVEZ
ARTDERIEN | Paru le 02/07/2021 | 30,00 €
Ce livre est un manuel documenté et illustré des pratiques platinistes qu’elle a développées depuis de nombreuses années. Elle y encourage l’expérimentation et la recherche personnelle par de nombreux exemples et instructions détaillées. Traduction de Claude Parle.
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de Vincent EPPLAY & Daniel FOUCARD
ARTDERIEN | Paru le 15/06/2021 | 30,00 €
Unholy Movie, est une édition inspirée des films de Vincent Epplay, associée à une fiction originale - en parallèle - de Daniel Foucard: « S O L ». Livre de 228 pages, noir et blanc & bichromie bundle avec K7.
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de Claude PARLE
ARTDERIEN | Paru le 25/02/2021 | 15,00 €
Préfacé par Denis Lavant. 19 poèmes et 23 "fraîches" de concert (notes de concert de musique improvisée : Albert Ayler, Sophie Agnel, Raymond Boni, Hélène Breschand, Steve Dalechinsky, Joëlle Léandre, Seijiro Murayama, Jean-François Pauvros, Barre Philipps, et bien d’autres.
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ARTDERIEN | Paru le 10/07/2018 | 15,00 €
À la frontière de la littérature et de la philosophie, L’invention de Morel, roman qui paraît deux ans après La nausée de Sartre, dialogue avec ce dernier, mais aussi avec l’ensemble de l’œuvre de Bioy Casares, comme avec J.L. Borges, avec Les autres, le film de Hugo Santiago auquel il a collaboré en tant que scénariste, ou Les ailes du désir de Wim Wenders. Un voyage dans le temps et dans l’imaginaire. |
ARTDERIEN | Paru le 15/10/2021 | 18,00 €
Élève de Jorge Luis Borges, assistant de Robert Bresson, Hugo Santiago est un réalisateur habité par l’histoire, par l’exil, et d’abord par le cinéma, par le cinéma même. Ses films sont un voyage dans le temps et dans l’imaginaire, à la frontière de la philosophie. À travers une pluralité d’interrogations, sur l’identité du moi (Les autres), l’exil (Les trottoirs de Saturne), le dialogue entre une ethnologue, une soprano et les musiques de civilisations différentes (La fable des continents), le passé au prisme de l’événement (Le loup de la côte Ouest), la transmission et la métamorphose d’une oeuvre (Le ciel du Centaure), Hugo Santiago ne pose qu’une seule question : qu’est-ce que le cinéma ? – pour ne rien dire de ses trois fantômes préférés qu’il évoque dans Adios : Derrida, Bresson, Blanchot. |