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l'autre LIVRE

Jacques JOUANNEAU

Cendres dispersées

Cendres dispersées

de Jacques JOUANNEAU

Corsaire (CORSAIRE) | Paru le 13/12/2015 | 12,00 €

 

 

Que se passe-t-il derrière le titre surprenant de Cendres dispersées ? Simplement des mots, des phrases en forme de pensées, réflexions, raisonnements… avec ici et là un coup de gueule sur ce qui agace !

Une brève réflexion sur l’ouvrage d’un peintre, l’interpré­tation d’une chanteuse, le comportement des députés en séance ; la remarque concernant le stradivarius de David Oïstrakh, la Babylone des Akkadiens ou l’œuvre de Mère Térésa. Des chroniques de Jean d’Ormesson aux Vêpres de Rachmaninov ou aux tableaux de Turner. Et parfois vous verrez l’auteur tirer la langue au législateur, aux anglo­philes et même à la Joconde ou faire un pied de nez à la publicité, à Wall Street et au royaume de Bourgogne !

Et à tout instant, sous un affleurement de spiritualité, vous percevrez le clin d’oeil bienveillant à la Loire, écharpe soyeuse posée sur l’épaule de la France.

Jacques Jouanneau est un écrivain qui défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la terre. Il a publié Rougeux, passeur de Loire et Prodiges de Loire.

Rougeux, passeur de Loire

Rougeux, passeur de Loire

de Jacques JOUANNEAU

Corsaire (CORSAIRE) | Paru le 05/05/2006 | 16,00 €

Vous ne bouterez pas votre plaisir en lisant : « Rougeux passeur de Loire » de Jacques Jouanneau

Des trois grandes crues de la Loire qui se sont succédé au XIXe et au début du XXe siècle (1846, 1856, 1907), celle de 1856 fut la plus spectaculaire et la plus destructrice.

« La lueur maintenant incendiait l'horizon. Le brouillard laissait progressivement la place à des nappes de brume qui s'effilochaient en tourbillonnant avant de s'évanouir en vapeurs ondoyantes au-dessus du fleuve. […] Rougeux arrêta sa barque face au château de Cour, tira sa musette et sortit le casse-croûte matinal enveloppé dans un linge : du gros pain et du lard avec quelques cornichons. Tranquille, la chopine entre les jambes, bien calé sur le banc, il observait les alentours. »
« Il y a du Balzac dans cette œuvre, mêlé d'Eugène Sue, de Maurice Genevoix et de Patrick Rambaud… Jacques Jouanneau, par sa vaste connaissance du milieu ligérien au xixe siècle, fait revivre avec réalisme le quotidien des mariniers, vignerons ou rouliers… » (Laurent Vallery-Radot, avocat à la Cour de Paris, conseiller municipal de Cour-sur-Loire).