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l'autre LIVRE

PÉTRA

Pierre Esperbé, Je suis né dans l'infini des êtres

Pierre Esperbé, Je suis né dans l'infini des êtres

de Colette KLEIN

PÉTRA (PÉTRA) | Paru le 20/11/2019 | 20,00 €

Pierre Esperbé (1924-2009) était poète, romancier, auteur dramatique, parolier, comédien, nouvelliste, etc. Il avait collaboré à plusieurs radios associatives et, depuis 1991, animait sur Aligre FM (93.1) un magazine européen, des évocations historiques, poétiques, théâtrales, des adaptations de nouvelles, des émissions consacrées à la chanson... Il s'agissait donc d'un "homme-orchestre" comme le définit son éditrice dans le présent ouvrage qui en donne un portrait à multiples facettes grâce aux témoignages de ceux qui l'ont rencontré dans l'une ou l'autre de ces voies.

Le sang séché des morts

Le sang séché des morts

de Jean-Paul LE BIHAN

PÉTRA (PÉTRA) | Paru le 23/10/2018 | 15,00 €

Le sang séché des morts est une longue errance du poète Jean-Paul Le Bihan au fil de l'Histoire et du Temps, un voyage au coeur des images retenues par sa mémoire, sa culture. Nulle limite à cette perception du monde et des Hommes. Un souffle éperdu, une respiration avide de réalité et d'imaginaire conjugués, un torrent maîtrisé par la sensibilité du peintre Henri Girard.

Débris sur le rivage

Débris sur le rivage

de Lionel RICHARD

PÉTRA (PÉTRA) | Paru le 14/02/2018 | 10,00 €

Après Marchandise non dédouanée (Prix François Coppée 2002, décerné par l’Académie Française) et Terrain de manoeuvres (2008), ce recueil, Débris sur le rivage, vient conclure une trilogie.
Ici trois étapes, face aux assauts des événements collectifs qui scandent le déroulement de la vie. Constructions chimériques. Rêveries. Dégradations. Et au fil de ce retour d’impressions, de réminiscences, les mésaventures d’une figure imaginaire, Abel Zéfirin. Car personne ne cesse jamais de se raconter des histoires, d’être un amateur de mensonges. Paraboles, ou plutôt montages métaphoriques, sur l’Idéalisme, la Justice, la Liberté, le Temps, l’Espérance.
Les certitudes épiques s’effondrent sous la dérision. Les envolées lyriques se fracturent. Les artifices des strophes rimées et de la chanson narguent l’appel assommant à la “modernité”. Les apologues éternels tremblotent d’ironie.
Même si les mots n’y sont pas poussés jusqu’à perdre leur sens, Débris sur le rivage met à mal l’écriture-ronron. Sans excès de voix. Sobre combinaison d’émotions et d’incitations à réfléchir sur les environs du monde.