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l'autre LIVRE

Restitutions

Terre Éléphant

Terre Éléphant

de Laurence DUGAS-FERMON

Restitutions (L'OEIL DE LA FEMME À BARBE) | Paru le 22/12/2021 | 18,00 €

Le GaneshaPark en Thaïlande est un refuge pour des éléphants qui - après une vie de travail très pénible - peuvent enfin jouir du repos. En 2017, Laurence Dugas Fermon y effectue un stage de développement  personnel auprès  de ces géants. L’expérience fut si forte qu’elle refait le voyage deux ans plus tard pour se préparer à y accueillir elle-même des stagiaires, dans le cadre des rencontres de cœur à cœur qu’elle propose au contact des animaux.
Marouflées sur toile et parées d’encres, ocres, pigments et peintures, ses photos se transforment en autant de fragments de paysages, d’océans, d’archipels,  de terres vues du ciel, d’étendues volcaniques, de galaxies... ou pour certaines - lumière éteinte - de voûtes célestes étoilées, par l’utilisation de peinture phosphorescente.
Un hommage à la terre, à l’énergie et la force d’ancrage que nous offre cet animal souverain qu’est l’éléphant, enrichi d’un texte d’une poésie empreinte de spiritualité.
Et afin de restituer au lecteur une expérience extraordinaire auprès du plus grand mammifère terrestre, voici un tout petit livre dans lequel concentrer son regard et sa pensée...

Vieillir, c'est pas pour les mauviettes

Vieillir, c'est pas pour les mauviettes

de Jacotte SIBRE

Restitutions (L'OEIL DE LA FEMME À BARBE) | Paru le 01/10/2021 | 25,00 €

Vieillir, c’est pas pour les mauviettes. Empruntée à la comédienne américaine Bette Davis (décédée en
1989 à 81 ans), cette citation sent le vécu ! Jacotte Sibre, qui sait parfaitement de quoi il est question, s’est intéressée à quatorze femmes entrées dans leur troisième vie, c’est à dire l’âge de la retraite.
Devant le téléphone portable négligemment posé sur un coin de table, qui filme et enregistre en se faisant oublier, toutes ont joué le jeu des propos à bâtons rompus et des paroles confiées sans directive particulière... Jacotte a monté une vidéo de 8 minutes environ pour chacune, puis réalisé leurs portraits artistiques, utilisant techniques et matériaux variés (peinture, gravure, sculpture...). L’installation d’ensemble, intitulée Portraits de femmes, devait faire l’objet d’une exposition en mai 2020. Mais Covid 19 et restrictions sanitaires étant passées par là, le projet a été reporté. Restaient les films, les portraits... et le temps nécessaire à la réalisation d’un livre - ce livre - qui présente l’ensemble des œuvres, en regard de la transcription fidèle des propos enregistrés.
La lecture que vous en ferez pourra vous faire sourire parfois, vous réjouir peut-être, vous émouvoir  certainement. Vous retrouverez probablement dans ces pages quelque-chose de votre grand-mère, de votre mère, de votre sœur ou votre double...
Loin des injonctions de notre époque - jeunisme forcené, avant-gardisme débridé, obsolescence programmée - le projet se penche sur cette catégorie de la population dont le pouvoir d’achat fait l’objet de toutes les attentions publicitaires, mais à laquelle l’art contemporain s’intéresse trop peu.
Car, si en effet la valeur n’attend pas le nombre des années et bien que la vieillesse soit un meuble inconfortable à en croire l’écrivaine Colette, l’auteur canadien Joseph Rudel-Tessier écrit dans Roquelune qu’elle n’est jamais qu’« une certaine idée que les autres se font de vous »...
Et puis, nous savons bien que c’est dans les vieux tonneaux qu’on fait les meilleurs vins !

Femmes sauvages

Femmes sauvages

de Marie Christine PALOMBIT

Restitutions (L'OEIL DE LA FEMME À BARBE) | Paru le 09/10/2020 | 25,00 €

La démarche de Marie Christine Palombit s’articule autour de représentations « archétypales » de la Femme, qui avance guidée par sa nature profonde. Dans sa peinture, elle développe des thèmes fondamentaux - la conception, les cycles de la vie, les instincts premiers - à travers les postures du corps. La lecture du livre Femmes qui courent avec les loups de Clarissa Pinkola Estés a été pour elle une véritable révélation ; elle y puise régulièrement lorsqu’elle ressent le besoin de se ressourcer ou d’approfondir des questions sur la psyché féminine.
En 2015, elle effectue un voyage en Arizona, aux États-Unis. Quarante femmes s’y sont retrouvées pour marcher dans le désert, pratiquer des rites amérindiens avec des indiens Navajos et suivre l’enseignement de « HO Rites de Passage ». À son retour, nourrie des formidables moments qu’elle vient de vivre, elle entame une série de grandes peintures Femmes sauvages entre ciel et terre, entre terre et ciel. Enrichissant sa palette de pigments fluorescents, elle donne à ses oeuvres une double lecture : exposées à la lumière noire, elles révèlent une vision plus secrète, comme celle d’un territoire inconscient. Des détails apparaissent ou au contraire s’estompent ; les postures changent et l’histoire que ces femmes racontent n’est plus tout à fait la même...
Restitution de son expérience, cet ouvrage présente en vis-à-vis vingt peintures et leurs « doubles » en vision nocturne, enrichies de croquis et textes issus du carnet de voyage de l’artiste. La lecture s’en effectue recto ou verso, selon qu’on le parcourt entre ciel et terre ou entre terre et ciel...
Sa sortie est accompagnée d’une exposition des oeuvres chez Artcorpus, l’atelier interactif et foisonnant de Marie Christine Palombit, qui a fêté ses 15 ans en 2020.

Moi et ma vie de peintre

Moi et ma vie de peintre

de Guillaine QUERRIEN

Restitutions (L'OEIL DE LA FEMME À BARBE) | Paru le 05/04/2019 | 25,00 €

Peintre, dessinatrice et graveuse, Guillaine Querrien a choisi d’utiliser une tablette numérique pour tenir son journal en image, lui conférant ainsi une spontanéité et une liberté adaptées à son propos : légèreté, gravité, humour. Il ne s’agit donc pas d’une bande dessinée, ni d’un roman graphique, car la vie n’est pas un roman. C’est bien un journal au fil d’une année et des saisons, le journal d’une femme qui partage sa vie entre ses deux maisons de Rio de Janeiro et de Paris. Mais il s’agit du journal d’une peintre et du regard qu’elle porte sur sa vie, sur le monde. Et c’est cela qui change tout..

Nue face au monde

Nue face au monde

de Laurence DUGAS-FERMON, Sophie SAINRAPT

Restitutions (L'OEIL DE LA FEMME À BARBE) | Paru le 08/02/2018 | 20,00 €

Pendant longtemps, Laurence Dugas-Fermon (artiste elle-même) a posé nue devant peintres et sculpteurs, artistes et élèves, afin de gagner sa vie. Son corps posait, mais sa tête ? Et depuis longtemps, elle souhaitait partager cette expérience à travers l’écriture. La peintre Sophie Sainrapt ne cesse de parcourir les territoires qui la passionnent : la poésie, l’érotisme et le corps féminin, auquel elle consacre la majeure partie de son talent. Laurence pose pour Sophie. Une pose sans contrainte, sans directive, au cours de laquelle la modèle laisse son corps s’exprimer librement tandis que l’artiste suit les courbes proposées. Et le projet prends corps à son tour : il faudra faire un livre ! L’une est donc écrivaine, l’autre est peintre. L’une pose tandis que l’autre la dessine. Les deux parlent et échangent en toute intimité. L’une écrit après chaque séance, l’autre met la touche finale aux œuvres réalisées. Rencontre de femmes...

Rêve de Béluga

Rêve de Béluga

de Laurence DUGAS-FERMON

Restitutions (L'OEIL DE LA FEMME À BARBE) | Paru le 23/11/2017 | 23,00 €

Comme tout artiste, Laurence Dugas-Fermon cherche à rendre visible l’invisible ; ses œuvres visent à rendre tangibles les forces nichées au cœur de l’humain, à équilibrer l’homme et la nature, l’intériorité sauvage et le corps charnel, la vie moderne et la spiritualité primitive, le monde concret et l’impalpable. Au Canada, elle retrouve les racines ancestrales des Amérindiens qui savaient élargir le champ de la conscience pour dialoguer avec l’Univers. Partie à la rencontre du peuple Béluga sur les rives du Saint Laurent, Laurence se découvrit elle même : artiste à la recherche d’un sens profond et secret de la vie, « chamane » en quête de connaissance des phénomènes complexes de la nature. Quête artistique, quête spirituelle... Elle restitue cet étonnant voyage initiatique dans un récit poétique et des photographies d’une beauté mystérieuse.

Partir... un transsibérien

Partir... un transsibérien

de Thérèse GUTMANN

Restitutions (L'OEIL DE LA FEMME À BARBE) | Paru le 08/09/2016 | 30,00 €

En 2015, Thérèse Gutmann effectue un voyage en Transsibérien de Moscou à Pékin. Elle photographie son périple en vue d’une exposition collective à Paris sur le thème « Partir ». L’ouvrage est organisé comme l’installation qu’elle a conçue : par analogies de couleur, d’émotions, de souvenirs... On y retrouve son rapport constant à l’enfance, l’intime, l’autre et son regard sur la société. Ne cherchez donc pas un guide de voyage, vous vous égareriez. Ne cherchez pas non plus un journal de bord, le format ne s’y prête pas. Encore moins un reportage photographique, vous n’y retrouveriez pas les clichés classiques. Cherchez plutôt une déambulation entre image et poésie. Un regard entre rêverie et réalité...