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l'autre LIVRE

Littérature

Nique ta mère la mort

Nique ta mère la mort

de Marion LECOQ

Littérature (ATELIERS HENRY DOUGIER) | Paru le 21/03/2019 | 16,00 €

Un homme, sauvage et solitaire, écorché par la vie.
La première fois dans sa jeunesse avec le rire perdu d’un frère.
La seconde fois par son métier, militaire.
Et une obsession, ce bruit incessant des hélicoptères.
Dans son monde rude et éprouvant, deux femmes surgissent, s’interposent. Il y a Annette, la nouvelle voisine. Elle a un trou dans la gorge et une voix de robot, mais elle ne lâche rien et profite de chaque heure que la vie lui offre encore. Et puis Nadège, la soeur de son pote FX, que la vie a chassée de son foyer et qui cherche un nouveau départ.
Une urgence les relie, peut-être la même, être heureux ici et surtout maintenant.
Alors nique ta mère le malheur et passe ton chemin...

Makoro

Makoro

de Florence MALMASSARI

Littérature (ATELIERS HENRY DOUGIER) | Paru le 08/03/2019 | 14,00 €

« Si tu empiles vingt pommes, tu as à peu près la hauteur de Makoro. Elle a dix ans, ses jambes sont des baguettes, les muscles collent aux os, c’est une petite grenouille. Ses cheveux, ce sont des milliards de frisures de laine, on passe les doigts dedans, c’est doux et ça pétille, au-dessous, on sent la tête bien faite, bien ferme. »
Makoro vient de Kissibougou, un village en brousse. À Bamako, dans un minuscule deux pièces, Ada sa tante l’accueille comme si c’était sa fille. On plonge alors dans la vie d’un quartier bouillonnant aux côtés de personnages pétulants : la vieille Niéba, Tiguidé-aux-belles-fesses, Touré le professeur, Inoussa le prodige, Abdoulaye-jus-à-bulles et petit Youssouf, qui nous entraînent dans un Mali vibrant, poétique et profond.

La Vieille dame qui voulait se jeter du rez-de-chaussée

La Vieille dame qui voulait se jeter du rez-de-chaussée

de Bruno BONIFACE

Littérature (ATELIERS HENRY DOUGIER) | Paru le 28/02/2019 | 16,00 €

« Comme presque tous les patients, il commence sa première séance par “Je ne sais pas par où commencer.“»
Le docteur Olivier Rougier, « le psy », partage son temps entre l’hôpital, son cabinet et le reste de sa vie. Comme une chronique intime, il nous raconte ses consultations, son quotidien, ses doutes et ses propres fêlures. On y croise cette mère qui n’a pas vu grandir son petit garçon de trente ans, ou ce père devenu alcoolique après le départ de son fils pour la Syrie ; ces copains qui l’invitent aussi parce qu’il est « l’ami psy » ; ces collègues potaches qui rebaptisent la moitié des troubles mentaux. Et son superviseur, « le psy du psy », qui le recadre sans ménagement. On y côtoie CD, la cardiologue qui l’accompagne dans ses nuits de garde et qui se bat, elle aussi, contre ses propres démons.
Et puis il y a cette vieille dame, au demeurant charmante, qui menace de se jeter du rez-de-chaussée.

Le Temps d'une île

Le Temps d'une île

de Thierry CLECH

Littérature (ATELIERS HENRY DOUGIER) | Paru le 06/09/2018 | 14,00 €

« Je devinais dans la nuit la forme triangulaire d’une île, au centre de la baie, dont la masse obscure se détachait à peine des lueurs astrales du ciel. Cette île m’intriguait… »
Qui, à travers le temps, a contemplé cette île à l’horizon ? Qui, il y a un siècle, 300 ans ou plus d’un millénaire a arpenté cette côte, a foulé cette plage ? Des anonymes, des personnages célèbres ? Qui y est né, qui y est mort ? Dans quelles circonstances ?
Des hommes s’y sont entretués et des couples s’y sont embrassés. Certains y ont laissé des regrets. D’autres ont pu y infléchir leur destin.
Thierry Clech a imaginé quelques-unes de ces vies, de l’âge de pierre jusqu’au siècle futur, offrant ainsi une surprenante histoire de l’humanité.

L'Homme qui courait après son nez

L'Homme qui courait après son nez

de Gérald CAHEN

Littérature (ATELIERS HENRY DOUGIER) | Paru le 19/10/2017 | 14,00 €

Un vent frais de folie et d’humour souffle sur ces dix-sept nouvelles dont les « héros » sont tous affligés de manies ou de ridicules qui leur rendent la vie impossible.
Il y a les grands timides qui ne caressent les femmes que des yeux, à commencer par le bon Dieu qui passe son temps à se cacher ; les délirants qui ont trop lu Gogol et courent encore après leur nez ; les rieurs qui, à force de rire, finissent par fondre en larmes ; les mal élevés qui ne savent pas se tenir en société et enfilent des gants blancs pour écrire des horreurs ; et les mal aimés enfin qui vont partout pleurant qu’on ne les prend pas au sérieux.
L’auteur de ces nouvelles fait partie de cette dernière catégorie, lui qui crie sur tous les toits qu’il n’est pas juste un « rigolo » et qu’il a des choses à dire. Des choses graves, des choses importantes. Mais le croira-t-on ?