Soirée Les Cahiers de Tinbad n° 8
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Cyrille Latour présente son dernier roman, Mes Deuzéleu (éditions Lunatique, 16 septembre 2019).
C’est une lettre que j’ai imaginée pendant des années sans jamais oser l’écrire — comme toutes ces lettres inachevées dont on se persuade que, une fois envoyées, elles solderaient tous les comptes passés. Le repas avec mes parents et la marche sous le ciel d’avril m’ont enfin décidé. C’est une chance à saisir. La dernière chance. Une lettre pour cet adolescent que j’ai croisé il y a près de trente ans et dont la photo, pour une raison qui me reste inconnue, a eu longtemps sa place dans l’album familial. J’avais six ans. J’ignore son nom. J’ignore son âge. Il était pubère. Je ne l’étais pas.
Oublier ? Pardonner ? Surmonter ? Refouler ? Que peut faire Camille, avec deux « l » et un « e » — deuzéleu —, devenu adulte, pour survivre à ce qu’il s’est passé chez les B. ? Écrivain, il choisit d’écrire, pour témoigner. Sans rien épargner, sans rien excuser. Pour enfin être entendu de ceux qui ne l’ont pas écouté.
Parution : 16 septembre 2019
ISBN : 979-10-97356-17-0
60 pages
Prix : 8 €
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Jérôme Deneubourg présente son dernier roman, Qui a peur d'Annie Ernaux ? (éditions Lunatique, 9 septembre 2019).
« La première phrase de Victoria dans l’escalier est : « C’était affreux ». Elle ajoute que ça lui a fait « très mal », qu’elle a mal encore, « comme des coups de couteau » qu’on lui donnerait dans le ventre. »
Dans Qui a peur d'Annie Ernaux ?, Jérôme Deneubourg fait le récit d'un avortement clandestin qui a eu lieu en 2016 en Argentine, et dont il a été le témoin direct – tout y est vrai. Son texte, écrit dans une langue intime et grave, montre comment les femmes sont contraintes à la clandestinité dans ce pays démocratique et cultivé, berceau de plusieurs prix Nobel et de l'actuel pape François. Ou comment une législation misogyne condamne le « deuxième sexe » à la prison et, indirectement, parfois aux mutilations et à la mort. « J’ai pensé écrire mon journal comme une lettre d’amour », écrit l'auteur dans ce texte d'une intensité bouleversante.
Parution : 9 septembre 2019
ISBN : 979-10-97356-16-3
116 pages
Prix : 12 €
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L'Académie française vient de dévoiler les lauréats 2019.
TAHAR BEKRI, dont les éditions AL MANAR ont publié 11 ouvrages, est gratifié du Prix du Rayonnement de la langue et de la littérature françaises
Ce prix a été créé en 1960.
Destiné à des personnalités françaises ou étrangères ayant rendu à la langue et aux lettres des services particuliers.
TAHAR BEKRI
Né en 1951 à Gabès (Tunisie), Tahar Bekri écrit en français et en arabe.
Maître de conférences honoraire à l'Université de Paris X, il a publié une quinzaine d'ouvrages (poésie, essais, livres d'art). Saluée par la critique, sa poésie est traduite dans différentes langues (anglais, russe, italien, espagnol, turc...).
Chez Al Manar : "L'Horizon incendié" (avec Mohammed Kacimi), "La brûlante rumeur de la mer" (avec Joël Leick), "Orage zéphyr (avec Mohammed Kacimi"), "Si la musique doit mourir" (avec Francesca Brenda), "Les dits du fleuve" (avec Joël Leick), "Je te nomme Tunisie", "Poésie de Palestine", "La nostalgie des rosiers sauvages", "Mûrier triste dans le printemps arabe", "Désert au crépuscule"... et plusieurs livres de dialogue avec des peintres.
(source : site des éditions AL MANAR)
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Notre chargé de mission depuis 2012, Eric Maclos, nous quitte en cette fin de mois (juin 2019).
l'autre LIVRE lui a souhaité un bon départ à la retraite lundi dernier. Étaient présents de nombreux éditeurs pour lui dire au revoir. Lecture de poésie et verre de l'amitié pour de bons moments partagés et beaucoup d'émotion.
Au revoir, Eric !
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Dans un contexte où les prix de poésie sont souvent remis à des hommes et où le paysage poétique français est largement masculin, laissant dans l’ombre des femmes poètes de talent, Vénus Khoury-Ghata (Goncourt de la Poésie 2011) a créé en 2014 un prix de poésie au féminin.
Le jury composé de Vénus Khoury-Ghata, Marie Huot, Claude Ber, Pierre Brunel, Ritta Baddoura, Cécile Oumhani & Caroline Boidé s’est réuni le 4 juin. Après délibération, cinq prix ont été décernés, parmi lesquels :
Prix Découverte :
La grande papillon de Delfine Guy, avec les calligraphies d'Abdallah Akar (éditions Al Manar)
Prix coup de cœur :
L'exil n'a pas d'ombre de Jeanne Benameur (éditions Bruno Doucey)
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Le Prix Mallarmé 2019 a été décerné à Claudine Bohi pour son recueil Naître c’est longtemps, paru aux éditions la tête à l’envers en septembre 2018. Le Prix Mallarmé, qui fait partie des plus anciennes distinctions poétiques françaises, est doté par la ville de Brive, qui offrira également à la lauréate de la récompense une résidence d'un mois.
Retrouvez l'article complet sur le site d'Actualitté
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Soirée lapone consacrée aux Sâmes
organisée par les éditions Kanjil et L’Atelier de l’agneau (revue L’Intranquille)